Geneviève de Parmentier

Geneviève Louise Élisabeth Félicité Françoise Armande Anne Marie Jeanne Joséphine Patricia de Parmentier, est née le 10 août 19§% (oups! faute de frappe) dans une petite ville du sud de la France.

Fille unique (forcément il ne peut pas y’en avoir 2!) de Jules André Antoine de Parmentier (ingénieur vitivinicole chez Dom Pérignon) et de Marie-Thérèse (mère très pieuse, élue dans sa jeunesse Miss Mimosa lors de la fête des cougourdes).

D’aucuns font remonter les origines de la famille de Parmentier jusqu’à Antoine Augustin Parmentier (pharmacien, agronome, nutritionniste et hygiéniste français du XVIIIème siècle), surtout connu pour son action de promotion en faveur de la consommation de la pomme de terre dans l’alimentation humaine (et la vodka ça compte !).

Geneviève reçoit donc une éducation française d’excellence, emprunte des valeurs morales et traditionnelles inculquées par sa mère, et baignée d’une culture œnologique sans faille distillée par son père.

Elle montre dès son plus jeune âge un don certain pour l’art du mélange (ou Cocktail) qu’elle pratique lors de ses goûters entre amies : le lait-fraise c’est elle !

Sa scolarité chez les bonnes sœurs de la Providentielle et Perpétuelle Miséricorde se déroule sans aucune ombre au tableau (ni tableau d’honneur non plus). Toutefois une obscure affaire de disparition de vin de messe a longtemps préoccupé les sœurs pendant plusieurs années à cette époque…

C’est lors de son 18ème anniversaire que se développe la réputation de Geneviève de Parmentier. Recevant de la part de son père sa première bouteille de Dom Pérignon, elle improvise alors un nouveau mélange en le versant dans son sirop favori : Le Kir Royal était né !

Les nombreux invités, tous issus de la bonne société locale, firent une grande publicité à cette création, et aux dons de Geneviève.

Elle comprit alors rapidement que son avenir ne pourrait pas se restreindre à sa région natale. Son destin serait national !

C’est donc en septembre 19£§ (foutu clavier!) que Geneviève fit ses valises pour la capitale, où, tout naturellement, elle s’installa dans le quartier Parmentier, dans le 11ème arrondissement.

Sa bonne éducation, sa classe naturelle, et ses dons éthyliques, lui ouvrirent toutes les portes de Paris.

Elle élargie son cercle de fréquentation des soirées huppées de la jeunesse dorée Parisienne, aux after-party underground des bas-fonds de Paris.

Forte de toutes ses expériences, Geneviève de Parmentier est mue par le souhait de rendre hommage à sa mère (ancienne Miss Muguet) ainsi qu’à son père (« œnologue »). C’est donc tout naturellement qu’elle va allier ses deux passions et créer un concours de Miss douées dans l’art du cocktail.

C’est donc en décembre 2009 (ah! Enfin le clavier fonctionne!) que Geneviève de Parmentier concrétise son projet en créant le COMITE MISS COCKTAIL que vous connaissez tous.